Kilometerstand
46.000 km
Transmissie
Automatisch
Bouwjaar
06/2019
Brandstof
Benzine
Vermogen kW (PK)
430 kW (585 PK)
Type verkoper
Autobedrijf
Basisgegevens
- Carrosserietype
- SUV/Off-Road/Pick-Up
- Categorie
- Gebruikt
- Aandrijving
- 4x4
- Stoelen
- 5
- Deuren
- 5
- Landversie
- Duitsland
Voertuiggeschiedenis
- Kilometerstand
- 46.000 km
- Bouwjaar
- 06/2019
- Laatste onderhoudsbeurt
- 10/2024
- Vorige eigenaren
- 2
- Volledige onderhoudshistorie
- Ja
Technische Gegevens
- Vermogen kW (PK)
- 430 kW (585 PK)
- Transmissie
- Automatisch
- Cilinderinhoud
- 3.982 cm³
- Versnellingen
- 9
- Cilinders
- 8
- Leeggewicht
- 2.560 kg
Energieverbruik
- Emissieklasse
- Euro 6d-TEMP
- Brandstof
- Benzine
- Brandstofverbruik
13,1 l/100 km (gem.)
- CO2-emissie
- 299 g/km (gem.)
Opties
- Comfort en gemak
- Climate Control
- Cruise Control
- Elektrisch verstelbare buitenspiegels
- Elektrische ramen
- Elektrische stoelverstelling
- Getinte ramen
- Lederen bekleding
- Lederen stuurwiel
- Navigatiesysteem
- Open dak
- Parkeerhulp
- Parkeerhulp achter
- Parkeerhulp met camera
- Regensensor
- Start/Stop-systeem
- Stoelverwarming
- Entertainment en Media
- Digitale radio-ontvangst
- Sound system
- Veiligheid en beveiliging
- ABS
- Achter airbag
- Adaptieve Cruise Control
- Airbag bestuurder
- Airbag passagier
- Alarm
- Bandenspanningscontrolesysteem
- Electronic Stability Program
- Hoofd airbag
- Isofix
- LED verlichting
- Lane Departure Warning Systeem
- Snelheidsbeperkingsinstallatie
- Traction Control
- Verkeersbordherkenning
- Zij-airbags
- Extra
- Lichtmetalen velgen
- Trekhaak
Kleur en Bekleding
- Kleur
- Groen
- Oorspronkelijke kleur
- Emerald Green
- Soort lak
- Metallic
- Kleur interieur
- Zwart
- Materiaal
- Leder
Beschrijving
Les concepteurs du nouveau Classe G présenté en 2019 en font le serment. À l'exception des poignées de porte, de la roue de secours extérieure et des gicleurs de lave-phare, aucun élément de carrosserie de la mouture précédente n'a été conservé. On a pourtant peine à y croire en regardant cette deuxième mouture d'un modèle dont les débuts commerciaux remontent à 1979... Mais le G existait bien avant. Au même titre que le Hummer, ce Mercedes a d'abord été créé pour servir sous les drapeaux iraniens.
En effet, c'est Muhammad Riza Chah, dernier shah d'Iran, qui en a eu l'idée. Celui-ci a confié à Mercedes-Benz le soin d'exécuter son cahier des charges qui s'est matérialisé en 1972. C'est donc pour le service militaire d'abord que ce véhicule a été conçu. Curieusement, sa carrière civile a débuté l'année même où le shah d'Iran a été forcé à l'exil.
Le Gelandewagen était jusqu'ici le plus âgé (et assurément le plus rustre) des produits de la gamme Mercedes-Benz. Et le constructeur était loin de s'en offusquer, loin de là. Vendu à prix d'or, ce véhicule vigoureux comme un rhinocéros, agile comme une gazelle et robuste comme un bélier de montagne manquait cruellement de civilité sur les voies publiques. Direction trop démultipliée, suspension bondissante, tenue de cap aléatoire, le G appartenait à une époque sympathique, sans doute, mais révolue. En outre, il fallait aussi composer avec un habitacle aux dimensions étriquées et un tableau de bord dessiné à l'époque où l'ergonomie était une science plutôt simpliste.
Comme la Porsche 911 ou encore le Jeep Wrangler, le Gelandewagen se trouve prisonnier de son image de «dur à cuire». Si toutes les tôles ont été retouchées, le G demeure aussi aérodynamique qu'une brique... Assurément, le G fait un pied de nez à la bataille du meilleur Cx (coefficient de traînée aérodynamique) qui reprend en douce dans l'industrie. Qu'à cela ne tienne, certaines arêtes vives ont été adoucies pour éviter que le vent ne siffle à tue-tête sur les parois et excroissances de la carrosserie.
On le reconnaîtrait entre mille, mais garez-le côte à côte avec le modèle antérieur, on voit immédiatement ce qui a changé. Le nouveau est plus long, plus large. L'empattement également a été accru au bénéfice des occupants à l'arrière et du confort en général. À l'avant, le dégagement est correct, mais les puits de roue forcent toujours leur passage dans l'habitacle. Conséquence: un dégagement plutôt limité pour les pieds et un pédalier légèrement décalé pour le conducteur.
Mais sans doute la caractéristique la plus surprenante et sciemment rapportée de la génération précédente est le bruit très métallique des portières. Cela surprend toujours l'oreille pour un véhicule de ce prix. Mais le modernisme du bloc d'instrumentation qui s'étale sur un tableau de bord toujours aussi peu profond a tôt fait de nous ramener au XXIe siècle.
Le châssis en échelle subsiste, mais arrime désormais une suspension indépendante à l'avant au lieu d'un pont rigide. Ce dernier demeure toutefois en poste à l'arrière. Sous le capot, on retrouve le 4 L V8 biturbo dont la puissance varie (416 ou 585 ch) selon la déclinaison retenue. À ce sujet, soulignons que plus de 50% des acheteurs de ce modèle optent pour la déclinaison AMG. Ce V8 costaud offre comme pas un des performances saisissantes, surtout dans sa version de 585 ch. Jamais à bout de souffle, ce moteur se trouve ici bien secondé par une boîte automatique à neuf rapports. Hélas, si brillant soit-il, ce groupe propulseur consomme beaucoup (trop) et son exploitation est pour le moins limitée sur un véhicule aussi lourd et si haut perché.Ce G63 AMG a été livré neuf en Allemagne au premier propriétaire avant d'arriver en France. Il est en cours d'immatriculation en France, l'ecotaxe sera donc évidemment payée.
Entretenu uniquement dans le réseau il est en parfait état de fonctionnement. En carrosserie rien à signaler, il est en parfait état et sort d'un Detailing complet avec protection céramique chez MSirius.
Liste des options :
Crédits photos Nino Hammet pour Eleven Cars
En effet, c'est Muhammad Riza Chah, dernier shah d'Iran, qui en a eu l'idée. Celui-ci a confié à Mercedes-Benz le soin d'exécuter son cahier des charges qui s'est matérialisé en 1972. C'est donc pour le service militaire d'abord que ce véhicule a été conçu. Curieusement, sa carrière civile a débuté l'année même où le shah d'Iran a été forcé à l'exil.
Le Gelandewagen était jusqu'ici le plus âgé (et assurément le plus rustre) des produits de la gamme Mercedes-Benz. Et le constructeur était loin de s'en offusquer, loin de là. Vendu à prix d'or, ce véhicule vigoureux comme un rhinocéros, agile comme une gazelle et robuste comme un bélier de montagne manquait cruellement de civilité sur les voies publiques. Direction trop démultipliée, suspension bondissante, tenue de cap aléatoire, le G appartenait à une époque sympathique, sans doute, mais révolue. En outre, il fallait aussi composer avec un habitacle aux dimensions étriquées et un tableau de bord dessiné à l'époque où l'ergonomie était une science plutôt simpliste.
Comme la Porsche 911 ou encore le Jeep Wrangler, le Gelandewagen se trouve prisonnier de son image de «dur à cuire». Si toutes les tôles ont été retouchées, le G demeure aussi aérodynamique qu'une brique... Assurément, le G fait un pied de nez à la bataille du meilleur Cx (coefficient de traînée aérodynamique) qui reprend en douce dans l'industrie. Qu'à cela ne tienne, certaines arêtes vives ont été adoucies pour éviter que le vent ne siffle à tue-tête sur les parois et excroissances de la carrosserie.
On le reconnaîtrait entre mille, mais garez-le côte à côte avec le modèle antérieur, on voit immédiatement ce qui a changé. Le nouveau est plus long, plus large. L'empattement également a été accru au bénéfice des occupants à l'arrière et du confort en général. À l'avant, le dégagement est correct, mais les puits de roue forcent toujours leur passage dans l'habitacle. Conséquence: un dégagement plutôt limité pour les pieds et un pédalier légèrement décalé pour le conducteur.
Mais sans doute la caractéristique la plus surprenante et sciemment rapportée de la génération précédente est le bruit très métallique des portières. Cela surprend toujours l'oreille pour un véhicule de ce prix. Mais le modernisme du bloc d'instrumentation qui s'étale sur un tableau de bord toujours aussi peu profond a tôt fait de nous ramener au XXIe siècle.
Le châssis en échelle subsiste, mais arrime désormais une suspension indépendante à l'avant au lieu d'un pont rigide. Ce dernier demeure toutefois en poste à l'arrière. Sous le capot, on retrouve le 4 L V8 biturbo dont la puissance varie (416 ou 585 ch) selon la déclinaison retenue. À ce sujet, soulignons que plus de 50% des acheteurs de ce modèle optent pour la déclinaison AMG. Ce V8 costaud offre comme pas un des performances saisissantes, surtout dans sa version de 585 ch. Jamais à bout de souffle, ce moteur se trouve ici bien secondé par une boîte automatique à neuf rapports. Hélas, si brillant soit-il, ce groupe propulseur consomme beaucoup (trop) et son exploitation est pour le moins limitée sur un véhicule aussi lourd et si haut perché.Ce G63 AMG a été livré neuf en Allemagne au premier propriétaire avant d'arriver en France. Il est en cours d'immatriculation en France, l'ecotaxe sera donc évidemment payée.
Entretenu uniquement dans le réseau il est en parfait état de fonctionnement. En carrosserie rien à signaler, il est en parfait état et sort d'un Detailing complet avec protection céramique chez MSirius.
Liste des options :
- Peinture Designo magno
- Pack exclusif intérieur plus (sieges av en cuir nappa designo, tableau de bord en cuir nappa, ciel de pavillon designo),
- Inserts décoratifs AMG en carbone
- Jantes forgées 22 AMG
- Volant performance AMG carbone / microfibre dinamica
- Autoradio numérique
- Airbags latéraux AR
- Vitrages AR fumés.
Crédits photos Nino Hammet pour Eleven Cars
Type verkoper
AutobedrijfELEVEN CARS
ContactGonzague Ruchaud
- BTW verrekenbaar
- Prijs voor handelaren
- Deze informatie wordt verstrekt door de leverancier van het certificaat en/of rapport.
- Specificatie van de fabrikant voor nieuwe voertuigen. Afhankelijk van de kilometerstand, het rijgedrag, de leeftijd van de batterij en het laadgedrag, kan de radius van occasies aanzienlijk variëren.